mercredi 21 octobre 2009

Un vaccin peu testé, êtes vous prêts a prendres des risques ?


Le syndicat des infirmiers après maintes réflexions estime qu'une vaccination massive contre
le virus du H1N1, présente des risques du fait d'un vaccin trop rapidement développé et d'un adjuvant susceptible de déclencher des maladies auto-immunes.
(Un adjuvant est une substance qui est utilisée pour rendre le vaccin plus efficace en utilisant une d'antigènes plus faible.)


Le syndicat invite la population à mesurer le rapport bénéfices/risques du vaccin H1N1 qui est
très contagieux mais faiblement agressif.
Quand pensez-vous, vaut-il mieux d'un côté une semaine de grippe ou de l'autre se faire vacciner mais risquer une probabilité faible mais définitive, d'avoir une maladie neurologique
ou auto-immune.


Des procédures réglementaires spécifiques ont été conçues pour accélérer l'homologation de ce vaccin contre cette grippe .De ce fait des événements indésirables, trop rares pour être mis en évidence même au cours d'essais cliniques de grande ampleur, peuvent apparaître lorsque
la vaccination concerne des populations très nombreuses .Par manque de temps, les données
cliniques seront inévitablement limitées au moments où l'on commencera à administrer les vaccins contre la grippe pandémique.
Par conséquence, les tests d'innocuité et d'efficacité devront donc se poursuivre après avoir
commencé à administrer ces vaccins.
De plus, un tel adjuvants n'a jamais était utilisé auparavant dans un vaccin commercialisé à
grande échelle, et peut donc déclencher des effets secondaires rares mais graves et dangereux.


Le syndicat des infirmiers cites :
"Notre expérience et nos connaissances des adjuvants sont très faibles .Si il venait qu'à y avoir des effets secondaires inattendus, ceux-ci pourraient affecter un nombre très important
de personnes avant qu'on puisse faire marche arrière."


La vaccination immédiate de dizaines de milliers de personnes par un vaccin peu testé est inquiétante : cette vaccination en devient même une expérimentation grandeur nature !
La stimulation du système immunitaire par trois doses de vaccin antigrippal en quelques semaines est une nouveauté.


Qu'allez-vous faire : préférez-vous attraper une grippe avec un peu de chance qu'il y ait des
effets secondaires ou bien allez-vous risquer l'administration d'un vaccin peu testé avec des risques d'effets secondaires certes faibles mais qui peut vous provoquer des conséquences
irrémédiables .


D'après le syndicat des infirmiers SNPI CFE-CGC

LANOUZIERE Frédéric
BONVIN Salomé


mardi 13 octobre 2009

Les grands préparatifs avant l'hiver




Face à l'arriver de l'hiver les spécialistes regardent la façon dont les autorités ont fait face à l'épidemie dans l'hémisphére sud. En Nouvelle Zelande la grippe A a multiplier par 15 le nombre de réanimations ; de juin à aout, plus de 700 malades ont eu la grippe H1N1, la moitié souffraient déjà d'une autre pathologie (obésités, asthme . . .) et 15% sont décédés.


Le docteur Well signale que les enfants et les adultes de 25 à 65 ans ont un risque plus important. Les services de réanimation pourait saturé dû aux nombres importants de malades.


Selon l'institut de veille sanitaire, l'épidémie a commencée en France mais le pique est à venir. Les personnes deja vacciner pour la grippe saisonniére auraient moins de risque d'avoir cette maladie mortel.




Sources: Le figaro / Le monde




Martinet romain ; Bisseriex Clement

lundi 5 octobre 2009

H1N1, en mode camouflage ?

Le virus H1N1 jouerai-il à cache-cache avec les épidémiologistes français et étrangers ? En effet, comme le déclare le journal Le Figaro "Après un accroissement du nombre de cas au cours des 15 premiers jours de septembre en France, la situation semble plutôt se stabiliser, si l'on en croit le dernier bulletin de l'Institut de Veille Sanitaire (InVS)". Cette situation est d'autant plus incompréhensible que le nombre de cas humains dans le monde varie selon un rhytme échappant à un schéma classique. Prenons par exemple le cas de la Grande Bretagne qui, après avoir été touchée de plein fouet par cette Grippe A en Juillet-Août, a été relativement épargnée durant les 15 premiers jours de septembre, voit de nouveau le virus réapparaitre.


En fait, le virus H1N1 est très difficile à surveiller à cause du fait que de multiples virus différents circulent en cette période et entraînent des rhinopharyngites ou des troubles pseudo-grippaux qui peuvent être pris pour des grippes. De plus, histoire de compliquer la tâche, il est hors de question de faire un prélèvement à chaque patient pour conformer le diagnostic de la Grippe car les tests sont très coûteux.

Cependant, comme l'explique Françoise Weber (voir photo ci-contre) directrice générale de l'InVS "Les indicateurs montrent que la situation épidémique est stable".


Nous pouvons donc dire que le virus H1N1 est encore une enigme pour la plupart des épidémiologistes et que personne ne peut à l'heure actuelle prévoir l'ampleur que va prendre cette pandémie dans les semaines et les mois à venir, même si pour l'instant la situation tend à se stabiliser.

Source : Le Figaro, article publié par Martine Perez le 01/10/09

Grand Bruno et Berthonnèche Antoine